M Denis C

 Présentation

Ma méthode 1- Revenir systématiquement sur les cours objet de difficultés avant tout travail dirigé. 2- Persuader sur tous ce que l'élève doit apprendre, quel que soit le moyen de convaincre du moment que c'est efficace : démonstration mathématique, histoire des sciences, expérimentation, nécessités pratiques, curiosité personnelle. Je dispose à ce jour d'une belle collection d'argumentations efficaces parfois inspiré par d'autres collègues, mais souvent de ma création. 3- Revenir sur tous les prérequis gênants comme si ils faisaient partie des nouveautés du jour, sans jamais critiquer ni moquer pour pouvoir continuer le cours. 4- Persuader l'élève que la logique scientifique et la logique ordinaire sont les mêmes, donc que tout exercice scientifique met en œuvre sa logique personnelle et non une logique importés de quelqu'un d'autre, fut- célébrité scientifique. C'est un point essentiel, celui qui libère définitivement l'élève de son manque de confiance en lui. Cette libération est toujours réalisé dès le premier entretien. Pour les suivants, je suis chaque fois accueilli par un élève serein, détendu et souriant. 5- Je réponds toujours à la curiosité, même si elle déborde le sujet du jour. 6- L'élève entreprend un exercice toujours parce qu'il en a naturellement envie, et non sous le sentiment d'obligation. Si il bute sur le sens d'une phrase du sujet, je ne fais que lui recommander de mettre en œuvre sa logique personnelle et son interprétation personnelle du texte et des données, puis je me tais. Après quelques secondes de réflexion silencieuse, il trouve et réussit toujours ! Il en résulte le sentiment d'avoir réussi de par ses seuls talents. 7- Une remarque intéressante : jamais la complexité d'un propos n'a été rejetée par un élève du moment qu'il soit convaincu sur chaque détail de la démonstration. 8- Toute formule mathématique est commentée sur ce qu'elle signifie avant tout traitement (transformation algébrique, application numérique ou sa démonstration mathématique) Un exemple : le théorème de Pythagore, avec la différence psychologique entre ces deux énoncés : AC² = AB² + BC² ou "L'aire du carré construit sur l'hypoténuse (et je donne l'étymologie du mot) est égale à la somme des aires des carrés construits sur les deux autres côtés" assorti du contexte probable de l'invention du théorème, les activités des services fiscaux de l'antiquité quand elle établissent l'assiette de l'impôt foncier. L'effet psychologique est spectaculaire. Denis Chadebec